vendredi 12 juin 2020

GE Belfort voudrait devenir un centre d'excellence sur l'hydrogène

Selon France 3, les discussions entre les organisations syndicales et la direction de General Electric ont finalement débouché sur un accord qui stipule notamment que 3 3000 heures de travail qui devaient être délocalisées (en Arabie Saoudite et aux Etats-Unis) seront maintenues sur les sites de Belfort et Bourogne.

C'est une première victoire, mais la partie la plus délicate se jouera lors du comité paritaire du 24 juin à Bercy. C'est là bas que sera présenté le projet industriel pour les prochaines années.

Les salariés de GE ont présenté 10 axes de développement au gouvernement au mois de mars. L'un de ces axes concerne notamment l'hydrogène. Les syndicats se disent convaincus que l'avenir ce sont des turbines à gaz qui puissent brûler de l'hydrogène, sans émettre de CO2. L'ambition est de faire de Belfort un site d'excellence mondiale dans ce domaine.

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