lundi 27 septembre 2021

La mobilité hydrogène au programme des conférences du forum de Belfort

Avec 5 plénières et 8 ateliers, le forum Hydrogen Business for Climate va permettre de couvrir toutes les thématiques du moment. Le premier gros sujet à être abordé est celui de la mobilité, le 29 septembre en fin de matinée. Il sera question à la fois de voitures (VP et VUL), de bus, de camions, de trains, de bateaux et même d'avions. 

Pour traiter tous ces thèmes, le forum a réuni des fabricants de piles à combustible (Symbio, Ballard, Elringlkinger/Plastic Omnium), un équipementier spécialisé dans les réservoirs (Faurecia), des constructeurs automobiles (Renault, Stellantis, Toyota Europe), un industriel local (Gaussin) qui se lance dans le camion en plus des engins de logistique, le pionnier du train à l'hydrogène (Alstom) et Aéroports de Paris pour traiter de l'avion, sans oublier un fournisseur d'énergie (TotalEnergies). 

Du chariot-élévateur à l'Airbus de 2035, cette plénière permettra de donner une approche globale de la mobilité. 

Pour une large majorité des personnes interrogées en France, mais aussi en Allemagne, en Autriche et en Suisse, les véhicules à hydrogène incarnent l'avenir de la mobilité et des transports. C'est le résultat d'une enquête internationale, menée en ligne dans ces 4 pays par la société d'études de marché Yougov pour le compte du Forum Hydrogen Business for Climate. 

En France, le tournant de l'hydrogène commence à être marqué avec pas moins de 44 % des interrogés estimant que le futur de la mobilité réside dans cette énergie. Les hommes pour leur part se montrent plus déterminés que les femmes avec 25 % d'entre eux considérant que l'hydrogène est « la » réponse, pour seulement 7 % des femmes. La jeune génération semble moins se poser de questions avec 12 % des 18-24 ans pour qui la réponse à l'hydrogène est « oui totalement », ce qui est vrai pour seulement 7 % des 34-44 ans. 

Quel que soit le pays, ce sont les jeunes qui affichent une meilleure connaissance de cette nouvelle source d'énergie. Et si la crise de la Covid-19 n'a pas augmenté de manière significative l'intérêt pour les énergies renouvelables, elle y a participé, et cela s'est vérifié pour la majorité des pays interrogés.

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